citationsindex
|
citationstextes recueil de Luc Fayard |
????
|
Les aquarelles bleues tiennent debout contre le murmure contre le vent des
mots. |
????
|
Peu importe où tu vas, peu importe le chemin que tu empruntes, l’important c’est la façon dont tu marches. (Luc Fayard ????) |
????
|
Un ami, c’est quelqu’un qui vous connaît bien et qui vous aime quand même. |
????
|
Un homme sage connaît toutes les coses ; un homme avisé connaît tous
les gens. (piqué sur le web :
A wise man knows everything, a shrewd one, everybody) |
????
|
La vie est une maladie sexuellement transmissible. (Desproges, Coluche,
Woody Allen, ?...) |
????
|
Ce n’est pas le chemin qui est difficile, c’est difficile qui est le
chemin. (Nietzche ? Luther King ? Repris par Diouf ?) |
???? |
Il y a deux choses que je déteste dans la vie : les racistes et les mexicains. (on source souvent : blague juive…) |
????
|
Les souvenirs sont comme les égouts : quand ça refoule, on en prend
plein la gueule. |
????
|
Quand l’infini, l’autre commence... |
????
|
Tuer le temps, est-ce un cas de légitime défense ? |
????
|
La mer monte : achetez de l’eau ! |
????
|
Quand la fleur s’ouvre, les abeilles arrivent. (proverbe arabe ?) |
????
|
Der Zeit ihre Kunst, der Kunst
ihre Freiheit. (A la biennale de Venise sept 2001, fronton du Secession
Building, France) |
????
|
Je sais pourquoi je suis là, je sais ce
que j’ai à faire mais je me demande comment faire pour que ça ait l’air
nouveau. (Le 7éme mari de Zaza Gabor, ou le 5e de Elizabeth
Taylor, entrant dans la Chambre nuptiale) |
Adaptation libre
|
Quelle est la différence entre la théorie, la pratique et Windows 98 ? |
Alain
|
Penser, c’est dire non. (Emile Chartier, dit..), 1858-1951, prof de khâgne
à Henri IV (1903-1933) |
Alain
|
Le pessimisme est d’humeur, l’optimisme de volonté (autre version :
le pessimisme de l’intelligence, l’optimisme de la volonté). |
Allais,
Alphonse
|
|
Allais,
Alphonse
|
Dans la vie, il ne faut compter que sur soi-même, et encore pas beaucoup. |
Allen,
Woody
|
L’homme exploite l’homme et parfois c’est le contraire. |
Allen, Woody
|
Il ne fait aucun doute qu’il existe un monde invisible. Cependant, il est
permis de se demander à quelle distance il se trouve du centre-ville et jusqu’à
quelle heure il est ouvert. |
Allen, Woody
|
On n’a jamais vu un aveugle dans un camp de nudistes. |
Allen,
Woody
|
L’éternité c’est long, surtout vers la fin. (ou Kafka ?) |
Allen,
Woody
|
J’ai moi-même été témoin l’autre jour de ce qu’on appelle la contraception
orale : j’ai demandé à une fille de coucher avec moi et elle m’a dit
non. (cité par Jacques Séguéla) |
Anonyme
|
L’informatique fait gagner un temps fou…qu’on passe sur son ordinateur. |
Anonyme
|
Qui veut pisser loin ménage ses chaussures. (cité par Frédéric Simottel,
journaliste) |
Anonyme
|
Les promesses n’engagent que ceux qui les reçoivent (qui y croient). (repris
par J2M) |
Aristote
|
Il faut préférer ce qui est impossible mais vraisemblable à ce qui est
possible, mais incroyable. (385-322 av JC,dit le Stagirite (né à Stagire)) |
Audiard,
Michel
|
Les cons ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnaît. |
Bachot, Roselyne
|
En déplacement, comme dit Chirac, il ne faut jamais perdre une occasion de
pisser, bouffer, baiser. (ex ministre, citée par le Canard Enchaîné 10 juin
2004) |
Bacon,
Francis
|
La gloire ressemble au marché : quand vous y restez quelque temps,
les prix baissent. |
Barbey
d’Aurevilly, Jules
|
Le plaisir est le bonheur des fous. Le bonheur est le plaisir des sages. |
Barrière,
Théodore et Capendu, Ernest
|
Les affaires sont les affaires. (« Les Faux Bonshommes », III,
20 ;1856) |
Barry,
Dave
|
Nous ne savons pas où la révolution virtuelle nous entraîne, nous savons
seulement que là ou nous arriverons, nous n’aurons pas assez de mémoire
RAM. (journaliste humoristique américain) |
Barry, Marion
|
A part les meurtres, Washington a un des taux de criminalité les plus
faibles du pays. (maire de Washington) |
Baudelaire,
Charles
|
|
Béraud,
Henri
|
Le journalisme est un métier où l’on passe la moitié de sa vie à parler de
ce qu’on ne connaît pas et l’autre moitié à taire ce que l’on sait. |
Bergson,
Henri
|
Choisir, donc exclure. (1859-1941) |
Bernanos,
Georges
|
Etre d’avant-garde, c’est savoir ce qui est mort ; être d’arrière-garde,
c’est l’aimer encore. |
Bibesco, Antoine
|
Prolonger les adieux ne vaut jamais grand-chose ; ce n’est pas la
présence que l’on prolonge, mais le départ. (« Le Sapin et le Palmier ») |
Blagues Belges
|
Le pluriel de « bière » ? Haltères ! Parce que :
une bière désaltère ! |
Blake,
William
|
Ton amitié m’a souvent fait souffrir ; soit mon ennemi, au nom de l’amitié. |
Blanche,
Francis
|
Face au monde qui change, il vaut mieux penser le changement que changer
le pansement. |
Bobin,
Christian
|
|
Bodin,
Jean
|
Il n’est de richesses que d’hommes. (économiste et philosophe français
(1530, 1596) |
Bohr, Niels
|
Le contraire d’une vérité banale, c’est une erreur stupide. Le contraire d’une
vérité profonde, c’est une autre vérité profonde. (Danois, Prix Nobel 1922,
physicien nucléaire, il finit par se ranger dans le camp des pacifistes) |
Bohr,
Niels
|
Il y a deux sortes de vérité : la vérité simple et la vérité absolue.
La vérité simple est le contraire du mensonge. Le contraire de la vérité absolue
est une autre vérité. |
Boileau,
Nicolas
|
Rien n’est beau que le vrai : le vrai seul est aimable. |
Boileau,
Nicolas
|
Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement, |
Braque,
Georges
|
Je ne cherche pas la définition. Je tends vers l’infinition |
Brooks, Frederic
|
Le fait d'ajouter des gens à un projet logiciel en retard le retarde
encore davantage. |
Capus,
Alfred
|
|
Capus, Alfred
|
Une hirondelle ne fait pas le printemps, mais le chameau fait le désert. |
Carton,
Daniel
|
Il faut toujours réfléchir avant de ne pas parler. (ex journaliste
politique in « Bien entendu, c’est off ») |
Casanova
|
Dépêchez vous de succomber à la tentation avant qu’elle ne s’éloigne. |
Cendrars,
Blaise
|
Le monde s’étire, s’allonge et se retire comme un accordéon qu’une main
sadique tourmente. (« Prose du Transsibérien ») |
Cervantès,
Miguel de
|
La jeunesse est une maladie mentale dont on guérit quelque fois avec l’âge |
Cervantès, Miguel de
|
Il faut donner du temps au temps |
Char,
René
|
Impose ta chance ; serre ton bonheur et va vers ton risque. A te
regarder, ils s’habitueront. |
Charles, Ray
|
Être aveugle ce n'est pas grave : j'aurai pu être noir. |
Chou
en lai
|
- Que pensez-vous de la révolution
de 1789 ? - C’est un peu trop
tôt pour juger. |
Churchill,
Winston
|
Dans le golf, le problème, c’est la balle. |
Cioran,
Emile
|
Le pire n’est jamais sûr. |
Claudel,
Paul
|
De la coutume du hara-kiri, les Japonais ont gardé la manie du cure-dents.
|
Claudel, Paul
|
La tolérance ? Il y a des maisons pour ça ! |
Claudel, Paul
|
Le femme n’est intelligente qu’au détriment de son mystère. |
Claudel,
Paul
|
Rien n’est plus dangereux qu’une idée quand on n’en a qu’une. (ou
Emile-Auguste Chartier, dit Alain ?) |
Clémenceau,
Georges
|
L’administration est un lieu où ceux qui partent en avance croisent ceux
qui arrivent en retard. (ou Georges Courteline ?) |
Clémenceau,
Georges
|
Les fonctionnaires sont un peu comme les livres d’une bibliothèque :
ce sont les plus haut placés qui servent le moins. |
Cocteau,
Jean
|
Dans la vie, on ne regrette que ce qu’on n’a pas fait. |
Cocteau, Jean
|
L’histoire est du vrai qui se déforme, la légende du faux qui s’incarne. |
Cocteau, Jean
|
-Qu’emporteriez-vous si votre maison brûlait ? |
Cocteau, Jean
|
Je crois à la chance. C’est la seule explication pour le succès des gens
qui nous sont antipathiques. |
Cocteau, Jean
|
Les miroirs devraient bien réfléchir avant de renvoyer certaines images. |
Cocteau, Jean
|
« Il faut savoir jusqu’où on peut allez trop loin. » |
Cohen, Jack
|
En biologie, il y a un mot spécial que nous utilisons pour dire
« stable » : c’est « mort ». (professeur de
biologie, auteur notamment de The Collapse of Chaos) |
Comte-Sponville, André
|
|
Confucius
|
L’expérience est une lanterne accrochée dans le dos : elle n’éclaire
que le chemin parcouru. |
Corneille
|
|
Corneille
|
|
Coué,
Emile
|
Tous les jours, à tous les points de vue, je vais de mieux en mieux. (pharmacien
et psychothérapeute) |
Crochom,
Dom
|
On fait toujours plaisir aux gens en venant les voir. Si ce n’est en
entrant, c’est en sortant. (cellérier de l’abbaye Saint-Sulpice de Lompnes
(Ain) fin 18e ; auteur de la recette du salmis aux bécasses ;
cité par Claude Gagnière « Pour tout l’or des mots » p. 110) |
Dac,
Pierre
|
La prévision est difficile surtout lorsqu’elle concerne l’avenir. |
Dac, Pierre
|
Si la fortune vient en dormant, les emmerdements viennent au réveil |
Dac, Pierre
|
Des chercheurs qui cherchent, on en trouve, mais des chercheurs qui
trouvent, on en cherche ! |
Debré,
Michel
|
Ce n’est pas en s’écartant du sujet qu’on va repeupler la France. (cité
par Pierre Desproges…) |
Desproges,
Pierre
|
En résumé, on peut dire que les Albanais sont le peuple le plus pauvre d’Europe.
Certains ont un seul walkman, la plupart n’en ont pas du tout. (« Les
étrangers sont nuls ») |
Desproges, Pierre
|
L’ennemi est con, il croit que c’est nous l’ennemi alors que c’est lui. |
Desproges, Pierre
|
Si c’est en forgeant qu’on devient forgeron, est-ce en sciant que Léonard
De Vinci ? |
Desproges,
Pierre
|
Au début de la création, tout était sombre, il n’y avait rien. Alors Dieu
créa la lumière. Il n’y avait toujours
rien, mais on pouvait le voir…(ou Pierre Dac ?) |
Desproges, Pierre
|
Quand on sait ce qu’on sait, qu’on voit ce qu’on voit et qu’on entend ce
qu’on entend, c’est pas étonnant qu’on pense ce qu’on pense. ( ?) |
Destouches
|
La critique est aisée, mais l’art est difficile. (Philippe Néricault dit, « Le
glorieux ») |
Destouches
|
|
Detoeuf, Auguste
|
Les hommes se répartissent en trois classes : les vaniteux, les orgueilleux
et les autres. Je n’ai jamais rencontré les autres. |
Detoeuf, Auguste
|
Méfiez-vous de l’homme qui parle pour ne rien dire : ou il est
stupide et vous perdez votre temps, ou il est très fort et vous perdez votre
argent. |
Diderot
|
On est dédommagé de la perte de son innocence par celle de ses préjugés. |
Drucker,
Peter
|
S’il y a un bruit dans le forêt et qu’il n’y a personne dans la forêt, il
n’y a pas de bruit |
Drucker, Peter
|
Un bon gestionnaire gère à l’intérieur de contraintes, un bon manager fait
sauter ces contraintes |
Dumas fils,
Alexandre
|
|
Dumas fils, Alexandre
|
La femme est, selon la Bible, la dernière chose que Dieu a faite. Il a dû
la faire le samedi soir. On sent la fatigue. |
Dumas, Alexandre
|
|
Eastman, Georges
|
Mon travail est terminé. Pourquoi attendre ? (fondateur de Kodak, sur
sa lettre de suicide ; « my work is done, why wait ? » |
Einstein, Albert
|
La perfection des moyens et la confusion des buts semblent caractériser
notre époque. |
Eluard,
Paul
|
Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d’autre.
|
Emerson,
Ralph Valdo
|
Les révolutions coupent les têtes alors qu’il suffirait de changer les
cerveaux. (philosophe et poète américain) |
Fargue,
Léon-Paul
|
Une citation classique, c’est comme l’exhumation de votre grand-mère en
présence de votre maîtresse. |
|
|
|
|
|
|
Feneuille,
Serge
|
Le mimétisme, reste la forme la plus répandue du jeu concurrentiel…Ne
vaut-il pas mieux avoir tort avec tout le monde qu’avoir raison tout seul ?
(ex DG du CNRS, dans la préface du livre de Michel Mabile « La maîtrise
de l’innovation technologique ») |
Flaubert,
Gustave
|
L’avenir est ce qu’il y a de pire dans le présent. |
Flaubert, Gustave
|
La fenêtre, en province, remplace le théâtre et les promenades. |
Flaubert,
Gustave
|
Garde-côte : ne pas utiliser au pluriel en parlant des seins d’une
femme. (« Dictionnaire des idées reçues ») |
Fontenelle
|
A propos de sa santé déclinante : « Comment cela va-t-il, monsieur ?
– Cela ne va pas, monsieur ; cela s’en va. » |
Ford,
Henri
|
Ce n’est pas l’employeur qui paie les salaires, c’est le client. |
Franklin, Benjamin |
Tu me dis, j’oublie. Tu m’enseignes, je me souviens, Tu m’impliques, j’apprends. |
Gide, André |
On estime inutile de chercher à comprendre ce que l’on réprouve. |
Gump,
Forest
|
La vie, c’est comme une boîte de chocolat : on ne sait jamais sur
quoi on va tomber. (héros du film éponyme, avec Tom Hanks) |
France, Anatole
|
Caressez longuement votre phrase et elle finira par sourire. |
France, Anatole
|
|
Franklin,
Benjamin
|
Souviens-toi que le temps, c’est de l’argent. (in « Conseils
indispensables à celui qui veut devenir riche ») |
Freud, Sigmund
|
L’homme est devenu une sorte de dieu prothétique. Quand il revêt tous ses
organes auxiliaires, il est vraiment magnifique ; mais ceux-ci n’ont pas poussé avec lui et
ils lui causent à l’occasion encore beaucoup de souci. (Malaise dans la
Civilisation (Culture) . |
Gainsbourg,
Serge
|
L’homme a créé des dieux ; l’inverse reste à prouver. (né Lucien
Ginsburg) |
Gainsbourg, Serge
|
Rendre l’âme ? D’accord, mais à qui ? |
Gainsbourg,
Serge
|
La laideur a ceci de supérieur à la beauté, c’est qu’elle dure. (emprunté à Georg Christoph Lichtenberg
1742-1799) |
Gide, André
|
On estime inutile de chercher à comprendre ce que l’on réprouve.
(1931-1986) |
Giono,
Jean
|
Tu veux de la place au soleil : alors fais du soleil au lieu de
chercher à faire de la place. |
Godard, Jean-Luc
|
J'adore regarder la télévision ! Parfois, même, je l'allume ! |
Goethe
|
Ce que je sais ne me sert à rien et ce que je ne sais pas me manque. (dans
Faust ?) |
Gomez
de la Serna, Ramon
|
La pluie est triste parce qu’elle nous rappelle le temps où nous étions
poissons. (1888-1963, inventeur des greguerias, petits poèmes-aphorismes) |
Gracq,
Julien
|
Tant de mains pour changer le monde et si peu de regards pour le
contempler. |
Greene,
Graham
|
Notre monde n’est pas tout l’univers. Peut-être y a-t-il un endroit où le
Christ n’est pas mort. (« La puissance et la gloire ») |
Greenspan, Alan
|
Si vous m’avez bien compris, c’est que je me suis mal exprimé. (patron de
la Fed US) (attribué à) |
Guitry,
Sacha
|
Le peu que je sais, c’est à mon ignorance que je le dois |
Guitry, Sacha
|
Il y a devant l’amour trois sortes de femmes : celles qu’on épouse,
celles qu’on aime et celles qu’on paie. Ca peut très bien être la même. On
commence par la payer, on se met à l’aimer, puis on finit par l’épouser. |
Guitry, Sacha
|
La plus grande des solitudes, c’est de se trouver en face d’une personne
qui ne pense pas la même chose que vous. |
Guitry, Sacha
|
Ne prenez pas la vie trop au sérieux ; de toutes façons, vous n’en
sortirez pas vivant |
Guitry, Sacha
|
Si ceux qui disent du mal de moi savaient ce que je pense d’eux, ils en
diraient bien davantage. |
Halliday,
Johnny
|
Que pensez vous de Toulouse-Lautrec ? – Je crois que c’est Toulouse
qui va gagner. (attribué à) |
Hillel
|
If I am not for myself,
who will be for me ? If I am only for myself,
what am I ? If not now, when ? (attribué à Hillel par Richard Stallmann inventeur de GNU) Si je ne suis rien pour moi-même, qui sera pour moi ? Si je suis tout pour moi-même, que suis-je ? Si ce n’est pas aujourd’hui, alors quand ? |
Homère
|
Qu’on ait langui dans l’indolence, ou qu’on se soit engagé dans de
longs travaux, on est confondu sous la
même tombe. |
Homère
|
Rends grâce à ta vieillesse de mon indulgence. |
Houdar
de La Motte
|
L’ennui naquit un jour de l’uniformité. |
Hugo,
Victor
|
C’est une triste chose de penser que la nature parle et que le genre
humain n’écoute pas. |
Hugo, Victor
|
La Chine est un bocal de fœtus. |
Huxley,
Aldous
|
Il y a trois sortes d’intelligence : l’intelligence humaine, l’intelligence
animale, l’intelligence militaire. (1884-1963, « Point et
ContrePoint ») |
Ionesco, Eugène
|
Prenez un cercle, caressez-le, il deviendra vicieux. |
Ionesco,
Eugène
|
Les paroles seules comptent, le reste est bavardage |
Jankélévitch, Vladimir
|
J’aime que la musique ne soit pas sourde à la chanson du vent dans la plaine, ni insensible aux parfums de la nuit. (Quelque part dans l’inachevé, p. 302, Folio essais no 60) (1903-1985) |
Jefferson,
Thomas
|
Un être ignorant ne peut pas être libre |
Joubert
,Joseph
|
Tous les êtres viennent de peu, et il s’en faut de peu qu’ils ne viennent
de rien. |
Jouy,
Jules
|
L’heure, c’est l’heure ; avant l’heure, c’est pas l’heure ;
après l’heure, c’est plus l’heure. |
Julliard,
Jacques
|
Il y a de l’Orgon dans l’intellectuel progressiste : il suffit qu’un
mur s’effondre devant ses yeux pour qu’il renonce à l’architecture. |
Kennedy, John F.
|
Pardonnez à vos ennemis, mais n’oubliez jamais leurs noms. (« « Forgive your enemies, but never forget their names. ») |
Kerdellant, Christine et Meyer, Eric |
A Ava Gardner : « Combien avez-vous eu de maris ? – En comptant les miens ? » (cité par , in « Le plus beau métier du monde », Flammarion) |
Kerouac,
Jack
|
« Clochard céleste » (à propos de Rimbaud : “La Beat
Generation)” |
Kissinger,
Henry
|
Il ne peut pas y avoir de crise la semaine prochaine : mon agenda est
déjà plein. |
La
Bruyère, Jean de
|
Il y a autant de faiblesse à fuir la mode qu’à l’affecter. |
La
Bruyère, Jean de
|
C’est une grande misère que de n’avoir pas assez d’esprit pour bien
parler, ni assez de jugement pour se taire. |
Labasse, Bertrand
|
La réalité n’a pas d’heure de bouclage. (prof de communication in Les
Cahiers du journalisme ESJ Lille Printemps 2004, - n°13) |
Labiche,
Eugène
|
Les chanceux sont ceux qui arrivent à tout ; Les malchanceux, ceux à
qui tout arrive. |
Labiche, Eugène
|
J’ai fini par m’apercevoir que je n’étais plus le seul à partager la
fidélité de mon épouse. |
Lacan, Jacques
|
Un patient : « Je ne suis quand même pas un abruti ! »
Lacan : « Ce n’est pas parce que vous le dites que ce n’est pas vrai. » |
Lamartine, Alphonse
de
|
Borné dans sa nature, infini dans ses vœux, L’homme est un dieu tombé qui se souvient
des cieux. |
Lamartine, Alphonse
de
|
Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé. (Méditations). |
Lamartine, Alphonse
de
|
|
Lamennais
|
On dit qu’il y a des anthropophages ; je le sais, mais cela n’a pas
dû être long ; ils ont dû mourir empoisonnés. |
Lao-Tseu
|
Celui qui a inventé le bateau a aussi inventé le naufrage. (ou Ulrich Beck ?) |
Lao-Tseu
|
Quand le coup de tonnerre a éclaté, il est trop tard pour se boucher les
oreilles. |
Lec, Stanislaw Jerzy
|
Sésame, ouvre-toi ! Je veux sortir ! |
Lénine
|
Les faits sont têtus. |
Lévy, Lorraine
|
La contrebasse, c’est la voix de mon père avec le corps de ma mère.
(Réalisatrice et joueuse de contrebasse, cité par) |
Luther
King, Martin
|
On sait guider des missiles mais pas des hommes |
Maeterlinck
|
Il n’y a rien de plus beau qu’une clef, tant qu’on ne sait pas ce qu’elle
ouvre. (« Aglavaine et Sélysette ») |
Maidment,
Robert
|
Il existe trois façons de monter au sommet d’un arbre : 1.grimper ;
2. s’asseoir sur un gland et attendre : 3. se lier d’amitié avec un
grand oiseau. ( ? , extraits du livre de Roger von Oech) |
Malraux, André
|
La nouvelle civilisation ressemble aux appartements déjà vides : on
attend les déménageurs. (1901-1976) |
Malraux, André
|
Il n’est pas facile à un poisson de voir son propre aquarium. |
Malraux, André
|
L’écrivain n’est pas le transcripteur du monde : il en est le rival. |
Mao
|
La bouse de vache est plus utile que les dogmes : on peut en faire de
l’engrais. |
Mao
|
Si vous construisez un port, les bateaux finiront bien par arriver. |
Marot,
Clément
|
|
Marx,
Karl
|
Moins vous êtes, plus vous avez. |
Marx, Karl
|
Les philosophes n’ont fait qu’interpréter diversement le monde, il s’agit
maintenant de le transformer. |
Marx, Karl
|
Donnez-moi un moulin à bras et je vous donnerai la société féodale.
(moulin à bras ou moulin à vent ? cité par Dominique Strauss-Kahn,
Hourtin 1998 ) |
Maurois, André
|
Il me semble que la plupart de nos douleurs morales viennent de ce que nous
avons des mots pour les décrire. (1885-1967) |
McNealy,
Scott
|
Eat lunch or be lunch. (pdg
de Sun Microsystems, 2002 ; en français : tu prends ta part de
gâteau ou bien tu es le gâteau.) |
Mencken,
H. L.
|
Quand un homme et une femme sont mariés, ils ne deviennent plus qu’un ;
la première difficulté est de décider lequel. |
Mintzberg,
Henry
|
Hier, les managers ne faisaient que manager l’entreprise, les leaders la
dirigeaient ; aujourd’hui, les leaders ne font que la diriger, les héros
la sauvent ; demain les héros ne feront que la sauver et les dieux en
seront les rédempteurs. (prof à McGill University et Insead) |
Montaigne,
Michel Eyquem de
|
Au plus élevé trône du monde, nous ne sommes néanmoins assis que sur notre
cul ! |
Montaigne, Michel Eyquem de
|
Je n’ai jamais vu au monde plus grand monstre ni miracle que moi. |
Montesquieu,
Charles-Louis de Secondat, baron de
|
L’argent est un bon serviteur et un mauvais maître. (1689-1755) |
More, Thomas
|
Ce n’est pas parce qu’on ne sait pas empêcher le vent de souffler qu’il
faut renoncer à sauver un navire dans la tempête. |
Mourot, Pascal
|
La vie est un puzzle, dont chaque pièce est une opportunité. (directeur de la rédaction de Fil-info-France, quotidien web indépendant d’actualité internationale) |
Musset, Alfred de
|
Qu’importe le flacon, pourvu qu’on ait l’ivresse. (« La coupe et les
lèvres ») |
Musset, Alfred
de
|
Se voir le plus possible et s’aimer seulement, |
Naipaul,
V. S.
|
Le chagrin te tendra son piége et il te détruira. (« A la courbe du
fleuve ») |
Napoléon
|
Qu'est-ce que l'histoire, sinon une fable ssur laquelle tout le monde est
d'accord ? (cité par Dan Brown « Da Vinci Code ») |
Nasrudin,
Mulla
|
La lune est plus utile que le soleil ! – Pourquoi ? – C’est
quand il fait nuit qu’on a besoin de lumière. (cité par Idries Shah ;
appelé également Nasr Eddin Hodja) |
Nerval, Gérard de
|
Le premier qui compara la femme à une rose était un poète ; le second
un imbécile. (attribué à Nerval par Roger Caillois) |
Nietzsche,
Frederich
|
Deviens ce que tu es. |
Nietzsche, Frederich
|
Les vraies richesses sont les méthodes. |
Nietzsche, Frederich
|
Plus abstraite est la vérité que tu veux enseigner, plus tu dois en sa
faveur séduire les sens. |
Nietzsche, Frederich |
Les plus grands événements ne sont pas de nos heures les plus bruyantes,
mais de nos heures les plus silencieuses. (Ainsi parlait Zarathoustra, p. 184, Éd. Livre de poche no 987) |
Nixon, Richard |
Je n’ai pas menti. J’ai dit des choses qui, plus tard, se sont avérées
fausses. (watergate, 1978) |
Novalis
|
Chaque Anglais est une île. |
Orange-Nassau,
Guillaume d’
|
Il n’est pas nécessaire d’espérer pour entreprendre, ni de réussir pour
persévérer. (dit le Taciturne, Stathouder de Hollande (1533-1584) |
Orwell,
Georges
|
Tous les animaux sont égaux, mais certains sont plus égaux que d’autres. |
Outrebon,
Thierry
|
On n’emmène pas son nougat à Montélimar. (journaliste) |
Pagnol,
Marcel
|
Il faut se méfier des ingénieurs, çà commence par la machine à coudre et
çà finit par la bombe atomique |
Parkinson,
Cyril Northcote
|
Tout travail tend à se dilater pour remplir le temps disponible. (historien
et journaliste anglais) |
Pascal,
Blaise
|
Le silence éternel de ces espaces infinis m’effraie. |
Pascal, Blaise
|
Le cœur a ses raisons que la raison ne connaît point. (« Pensées ») |
Pascal, Blaise
|
Tout qui est au monde est concupiscence de la chair ou concupiscence des
yeux ou orgueil de la vie : libido sentiendi, libido sciendi, libido
dominandi. (« Les Pensées », citant Saint Jean, Première épître 2.16,
cité par Sœur Emmanuelle) |
Paulhan,
Jean
|
Tout a été dit. Sans doute. Si les mots n’avaient changé de sens ; et
les sens, de mots. |
Perles
du bac
|
Le mètre est la dix millionième partie du quart de méridien terrestre,
pour que ça tombe juste on a arrondi la terre. (1999) |
Peter,
Laurence J.
|
La beauté et la vérité sont comme les verres de contact : dans l’œil
du spectateur. (« le principe de… ») |
Picasso,
Pablo
|
Tout acte de création est d’abord un acte de destruction. |
Picasso, Pablo
|
Tout ce qui peut être imaginé est réel. |
Pirandello
|
Les faits sont comme des sacs, quand ils sont vides, ils ne tiennent pas
debout |
Platon
|
Peut-être en réalité, sommes-nous morts. |
Platon
|
L’ ignorance de soi est une ignorance qui s’ ignore, la pire donc. |
Platon
|
Ce n’est pas parce qu’ on craint de la commettre que l’ on blâme l’
injustice mais parce qu’ on craint de la subir. |
Platon
|
La méthode dialectique est la seule qui, rejetant les hypothèses, s’élève
jusqu’au principe même pour établir solidement ses conclusions et qui tire
peu à peu l’œil de l’âme de la fange grossière où il est plongé et l’élève
vers la région supérieure. » La République, VII, 533a. (in Armogathe Daniel,
La synthèse de documents, Dunod, 1988, p.2) |
Prévert, Jacques
|
Il suivait son idée. C’était une idée fixe et il était surpris de ne pas
avancer. |
Prévert, Jacques
|
De deux choses lune ; l’autre, c’est le soleil. |
Prévert, Jacques
|
Si la vérité n’est pas libre, la liberté n’est pas vraie. |
Prévost,
Daniel
|
|
Proverbe
africain
|
Tous les Blancs ont une montre mais ils n’ont jamais le temps. |
Proverbe
africain
|
Il faut être à la fois arbre et pirogue. |
Proverbe
africain
|
Tant que les lions n’auront pas leur historien, les récits de chasse
tourneront toujours à l’avantage des chasseurs. (cité par René Dumond (in Le
Monde 2, août 2001) |
Proverbe anglais
|
Pour réussir dans la vie, prenez exemple sur les canards : présentez
une attitude calme et indifférente à la surface, et pédalez furieusement
en-dessous ! |
Proverbe
américain
|
Prospérité : prudence ! Adversité : patience ! |
Proverbe
américain
|
Dans une affaire, il y a toujours un pigeon. Si vous ne savez qui c’est,
c’est que c’est vous |
Proverbe anonyme
|
Quand je me regarde, je me désole ; quand je me compare, je me
console |
Proverbe
arabe
|
Si tu penses que le lion est un âne, va donc lui mettre un mors ! |
Proverbe
arabe
|
En Occident, on dit : « Rira bien qui rira le dernier. » En Orient,
on dit : « Quand la neige fondra, la merde apparaîtra. » (d’après) |
Proverbe
chinois
|
Quand le sage montre la lune, l’imbécile regarde le doigt |
Proverbe
chinois
|
Il est difficile d’attraper un chat noir dans une pièce sombre, surtout
lorsqu’il n’y est pas. |
Proverbe
soviétique
|
. Qu’est ce que la science ? –Chercher dans une pièce sombre un chat
noir. . Qu’est ce que la philosophie ? –Chercher dans une pièce sombre
un chat noir qui ne s’y trouve pas. . Qu’est ce que le matérialisme
dialectique ? –Chercher dans une pièce sombre un chat noir qui ne s’y
trouve pas et s’écrier : « ça y
est, je l’ai !» |
Proverbe
taoïste
|
Quand tu fermes le poing, il ne renferme que du vide ; quand tu
ouvres la main, elle s’ouvre sur le monde |
Proverbe
tibétain
|
Le sage ne joue jamais à saute-mouton avec une licorne. |
Racine,
Jean
|
Qui veut voyager loin ménage sa monture. (« Les plaideurs ») |
Raffarin, Jean-Pierre
|
Celui qui reçoit une gifle est un homme giflé, celui qui reçoit un hommage
est un homme âgé. (Premier ministre, cité par Le Canard Enchaîné du 03/12/03,
p.3 ; à qui l’a-t-il piqué ?) |
Renan,
Ernest
|
Qui sait si la vérité n’est pas triste |
Renard,
Jules
|
Si l’argent ne fait pas le bonheur, rendez-le ! |
Renard, Jules
|
Si l’on bâtissait la maison du bonheur, la plus grande pièce serait la
salle d’attente. |
Rilke,
Rainer Maria
|
Si le vin est amer, deviens le vin. |
Rivarol
|
Les rois continueront à perdre la tête tant qu’ils porteront la couronne sur les yeux plutôt que sur le
front |
Rivarol
|
C’est un terrible avantage de n’avoir rien fait, mais il ne faut pas en
abuser |
Saint-Exupéry, Antoine
de
|
Aimer, ce n’est pas se regarder l’un l’autre, c’est regarder ensemble dans
la même direction. |
Sartre, Jean-Paul
|
Le passage d’une étape à une autre est toujours un enrichissement ;
il y a toujours plus dans la synthèse que dans la thèse et l’antithèse réunies. |
Sassoon,
Vidal
|
Le seul endroit où le succès précède le travail est le dictionnaire. (styliste
britannique) |
Satie,
Erik
|
Plus je connais les hommes, plus j'admire les chiens. (???? (Écrits réunis
par Ornella Volta, Éditions Champ Libre, 1981, p. 174) |
Schnitzler,
Arthur
|
Il est tellement facile d'écrire ses souvenirs quand on a une mauvaise
mémoire. (1862-1931, auteur de « La Ronde » qui inspira un film à
Max Ophüls) |
Schopenhauer, Arthur
|
La vérité objective d’une proposition et la validité de celle-ci au regard
de l’approbation des opposants et des auditeurs sont deux choses bien
distinctes. D’où cela vient-il ? De la médiocrité de l’espèce humaine |
Scudéry,
Mademoiselle de
|
L'amour est un je-ne-sais-quoi, qui viens de je-ne-sais-où, et qui finit
je-ne-sais-quand. (1607-1701 « Clélie » La carte du tendre) |
Scutenaire,
Louis
|
Avec les mots, on marque le mouvement ; avec les images, on le fixe. (dit
Scut (1905-1987), « Mes inscriptions ») |
Séguéla,
Jacques
|
- J'aime bien votre livre, dit un éditeur à un auteur. Sauf la fin. -
Pourquoi ? - Elle est trop loin du début ! (??) |
Senèque
|
Il n’est pas de vent favorable à celui qui ne sait où il va |
Senghor,
Léopold Sédar
|
Nous n'héritons pas de la terre de nos ancêtres, nous l'empruntons à nos
enfants. (?) |
Serres,
Michel
|
Quelle est la différence entre la science et la technologie ? - La science
est ce que le père apprend à son fils. La technologie est ce que le fils
apprend à son père. (in Le Monde 2, août 2001) |
Shakespeare,
William
|
La gloire est comme un cercle dans l’onde qui va toujours s’élargissant,
jusqu’à ce qu’à force de s’étendre, il finisse par disparaître. |
Shakespeare,
William
|
Puisque l’on ne sait rien de ce que l’on quitte, qu’importe si on le
quitte avant l’heure. (“Hamlet”
Acte V scène II) |
Shaw, Georges
Bernard
|
Les spécialistes savent de plus en plus de choses dans des domaines de
plus en plus restreints : à la limite, ils savent tout sur rien. |
Shaw,
Georges Bernard
|
L'Angleterre et l'Amérique sont deux pays séparés par la même langue. |
Shaw,
Georges Bernard
|
Some men see things as
they are and ask Why ? I dream things that never were and ask, Why not? Les gens regardent les choses telles qu'elles sont et se demandent pourquoi. Moi, je rêve aux choses telles qu’elles n’ont jamais été et je me demande : pourquoi pas ? (cité par Michel Mabile in « La maîtrise de l’innovation
technologique » qui l’attribue par erreur à Martin Luther King, sans
doute parce que d’autres l’attribuent aussi par erreur à Robert Kennedy
annonçant l’assassinat de Luther King le 4 avril 1968 ; son frère John semble
bien l’avoir dite, en sourcant Shaw à un discours au Dail, le parlement
irlandais le 28 juin 1963) ; en anglais, de Shaw, la phrase serait : « » |
Socrate
|
La seule chose que je sais, c’est que je ne sais rien. (470-399 av J.C.) |
Solon
|
Je ferai donc des lois si conformes aux intérêts des citoyens, qu'ils
croiront eux-mêmes plus avantageux de les maintenir que de les transgresser. (640-560
av. J.C.) |
Spira, Alain
|
La vie, c'est simplement changer de cabine sur le Titanic. |
Stain,
Claude
|
L’indicateur qui indique que vous ne comprenez rien, c'est quand vous ne vous posez pas de
questions. (pdg de Coframi) |
Supervielle, Jules
|
Ne touchez pas l’épaule du cavalier qui passe ; il se retournerait et
ce serait la nuit. |
Szent-Györgyi, Albert
|
Découvrir, c'est voir la même chose que les autres et penser autrement. (Nobel
Médecine qui a découvert la vitamine C dans le paprika) |
Talleyrand
|
Si cela va sans dire, ça ira encore mieux en le disant. |
Tocqueville, Alexis de
|
Faire la révolution, c'est comme écrire
un roman, le plus difficile est de trouver la fin. (cité dans « La
compagnie, le roman de la CIA » par Robert Littell) |
Toscane, Lucien
|
Le problème avec la mort, c’est son côté définitif. |
Toscane, Lucien |
Comme disait mon grand-père, quand on est vieux, c’est pour la vie. |
Toscane, Lucien |
Comment appelle-t-on chez les russes un brigand qui, à coup de corruption et d’escroquerie, fait main basse sur un pan entier de l’industrie ?... Un PDG ! (lu dans « La trahison Prométhée » de Robert Ludlum) |
Toscane, Lucien |
La maturité, c'est quand tu passes de la question « Qu'est-ce que j'ai envie de faire dans la vie? » à la question « Qu'est-ce que j'ai envie de faire de ma vie? » |
Toscane, Lucien |
Ce qui m'inquiète le plus, c'est tout ce que je ne sais pas et que je n'ai pas envie d'apprendre. |
Toscane,
Lucien
|
Pour arriver à mes fins, je ne suis pas sûr de ne pas préférer dire ce que
je pense à dire ce qu’il faut. |
Toscane, Lucien
|
A quoi reconnaît-on l’homme moderne ? Il a un jeton de caddie
accroché à son porte-clé. |
Twain, Mark
|
Je suis tout à fait pour le progrès. Ce que je n'aime pas, c'est le
changement. |
Un critique
|
A propos d’une pièce de théâtre : « Le public aime çà ; il est
bien le seul ! » |
Valéry, Paul
|
Etre compétent, c'est se tromper selon les règles. |
Valéry, Paul
|
Ce qui est simple est faux, ce qui est compliqué est inutile. |
Valéry, Paul
|
Dieu a tout fait de rien, mais le rien perce. |
Vespasien
|
L’argent n’a pas d’odeur. |
Vian, Boris
|
|
Vian, Boris
|
C'est les jeunes qui se souviennent. Les vieux, ils oublient tout. |
Viénet, René
|
A force de flairer
l’oignon des bureaucrates les garde rouges ont fini par pleurer. (réalisateur
du film « La dialectique peut-elle casser des briques ? ») |
Vinci, Léonard de
|
Ô spectacle dégoûtant : voir la langue d’un animal dans le cul d’un
autre… (parodie de discours apocalyptique pour parler en fait des langues de
porc et de veau dans la saucisse ; 1452-1519 ; « Prophéties
facétieuses ») |
Visier, Jean-Christophe
|
Nous sommes passés d'une civilisation de la peine à une civilisation de la
panne. (chercheur au CSTB Centre
scientifique et technique du bâtiment) |
Voltaire
|
Je vous écris une longue lettre parce que je n'ai pas le temps de vous en
écrire une courte. |
Voltaire
|
Dieu a fait l'homme à son image, mais l'homme le lui a bien rendu. |
Voltaire
|
A quelqu’un qui lui dit « La vie, c’est dur ! » Voltaire
aurait répondu : « Comparé à quoi ? » (cité par Bjorn
Lombord in L'Ecologie Sceptique) |
Wagner, Richard
|
Ici, le temps se mue en espace. (« Parsifal ») |
Weill-Hébert, Olivier
|
En matière de modestie, je ne crains personne (Cité par ;
paraphrasant Alfred Capus : Il n'a qu'une qualité : il est modeste. Et
il s'en vante !) |
Wilde, Oscar
|
Ma terreur est de ne pas être incompris. |
Wilde, Oscar
|
Quand j'étais jeune, je croyais que l'argent était ce qu'il y avait de
plus important dans la vie. Maintenant que je suis vieux, j'en suis sûr. |
Wilde, Oscar
|
Les hommes savent le prix de tout, mais ne connaissent la valeur de rien ! |
Wilde, Oscar
|
Les Etats-Unis sont le seul peuple ä être passé directement de la barbarie
ä la décadence sans passer par la civilisation. |
Wilde, Oscar
|
Jack : Ceci, mon cher Algy, est toute la pure et simple vérité. Algernon : La vérité est rarement pure et jamais simple. |
Wilde, Oscar |
Pour les économistes, tout a un prix mais rien n’a de valeur. |
Wolinski |
L’homme à la femme : « tu n’es plus la même ! » La femme : « je ne serais plus moi-même si j’étais resté la
même ». (Lettre ouverte à ma femme, Albin Michel ; in Armogathe
Daniel, La synthèse de documents, Dunod, 1988, p.2) |
|
|
|
|